Tenebris
Etre au cœur tendre
Qu’il suffit de se pencher pour le prendre
Un peu le comprendre, lui éviter de se pendre
Ne pas pourfendre son intégrité
Pensant défendre son imbécillité
Ravager par plaisir, son esprit désagrégé
Pour le jeter comme un produit usagé
Ma plume s’agite, forcenée
Un peu endormie, bientôt prête à frapper
Cet ennemi invisible, prénommée stupidité
Coupante plus qu’une lame par une nuit d’été
A l’aube où mon âme, s’est ouverte à son monde pailleté
Fais appel à Toi, Mon Maître d’éternité
Viens en moi la douleur, m’arracher
Permettre au chevalier de la brume étoilée, de reprendre sa route sans être bridé