Les Chapelles - Mes cris dans la nuit

Fantastique Erotique Gothique
Les Cris dans la Nuit
Chris La Nuit
Adulte + 18 ans, majeur, sans tutelle
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Les Cris dans la Nuit
Adulte + 18 ans, majeur, sans tutelle
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Une chapelle perdue dans la nuit, une faible lueur en son cœur luit

A s’y tromper ces premiers mots pourraient, introduire l’idylle d’une douce histoire
Un chevalier et sa princesse se jurant loyauté, amour et fidélité.

Un tendre baiser sur votre joue Madame, fera de moi votre serviteur à jamais

Asservit par ses désirs qui l’ont conduit ici juste avant midi, rejoindre celle qui par sa baguette magique le transformera en un doux agneau, prêt à subir tous les fantasmes de sa Reine, sans rien demander en échange même un simple « je t’aime ».

Avant que l’insécurité ne gagne villages et cités, couvents et monuments n’étaient pas surveillés, aucune caméra ne filmait le passage des visiteurs, pas plus d'intervention de l’extérieur si un couple venait pour profiter du lieu avec ferveur.

Il y régnait un sentiment de sérénité à chaque passe du martinet.

La résonance en ces lieux est importante, en font l’endroit idéal pour les chants de chorales, tout comme pour du jazz en récital
Les cris mêmes infimes se répercutent sur les vielles pierres, le frottement des lanières de cuirs sur la peau, produisent un bruit qui n’a pas son pareil, pour une oreille au tympan affûté.

Ma belle se transforme en soumise pour connaitre un instant le plaisir de ma domination, nue à même le sol frais de la petite nef, agenouillée comme priant pour se faire pardonner. Les brins du martinet lèchent sa peau tendre, la marquent peu à peu de traces rougeâtres, qui noircissent à saigner.

Mon bras sa raidit, accélérant le mouvement pour faire pénétrer la douleur profondément en son corps.
Malgré mon souhait de l’arrêter, ma tendre en redemande, car le mal continue de la solliciter.

Les lieux privilégiés de la capitale sont trop fréquentées, nous prenons de la distance pour aller nous amuser, en mon antre proche de Montmirail et de son château délabré.

La pénétration anale par le manche de son fouet, l’amuse de me prodiguer. Maîtresse adore m’humilier autant que devant ses invités lors d’une soirée privée.

Je lui préfère les balades en forêt la nuit tombée, en promenade avec laisse et collier, discipliné par sa cravache et son martinet.

Pour ne pas faire naître en nous la morosité, l’usure de jeu trop répétés, nous acceptons la venue de nouvelles mains, qui partagent leurs désirs de nous faire jouir.

Nous faisons attention de ne pas perturber les messes, ma belle trempe ses doigts dans le bénitier, juste avant de se signer sur la pointe de ses seins agités, puis se dirige d'un pas léger, pour aller à confesse se vider de ses péchés




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