Histoire des objets du plaisir - Mes cris dans la nuit

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Les Cris dans la Nuit
Chris La Nuit
Adulte + 18 ans, majeur, sans tutelle
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Qui, quand, comment et pourquoi ces objets ont-ils été créé

Le « cabinet noir » en période de 6 heures pour la remise d’un dissipé.
Le Martinet :

Invention du martinet par le colonel du même nom, un officier de l’armée de Louis XIV, brillant tacticien

An 1760 chez les jésuites, une pratique sévissait culote baissée et chemise retroussée, la correction était infligée avec un fouet à sept lanières orné de billes de métal, un martinet utilisé bien après et toujours.

le martinet composé de plusieurs lanières de cuir ou de chanvre, attachées au bout d’un manche, pour les fautes mineures.

Le Fouet :

Une arme de combat formée de lanière de cuir, utilisé dès l'antiquité chez les Huns
Comme châtiment sous l'ancien régime, pour les lois Islamiques, dressage des chevaux et animaux sauvage

Usage adopté par l'église, les Égyptiens, Grecs, Romains les utilisaient sur les esclaves et sur les écoliers

Saint Colomban au VIe siècle, écrivait "Le fouet sert à ramener dans le devoir les moines qui parlent trop haut, qui font rire les autres, qui sont colères"

Un moine menteur ou voleur "prévenu par les plus âgés, s'il néglige de s'amender, devra le faire en public et s'il néglige de se corriger, sera flagellé avec la dernière sévérité"

Coutume adoptée par le christianisme

Au temps ancien, les romains utilisaient le Flagrum, un fouet à manche court portant plusieurs lanières larges et épaisses (2 à 3) munies à quelques ornées de balles de plomb ou d’os de mouton

Dans les couvents la mère supérieure utilisait cet outil en cas de manquement à la morale, au règlement

Les moines soldats n'étaient pas en reste

Le pape Grégoire le Grand a fait fouetté publiquement un diacre qui avait calomnié son prochain

Les puissants aussi subissaient le traitement, comme le Comte de Toulouse, Raimond Le Vieux, accusé d’avoir favorisé les Albigeois, fut fouetté en place publique à la porte de l’église Saint-Gilles à Valence.

Henri II roi d’Angleterre qui avait causé la mort de l’archevêque de Cantorbéry, subit la flagellation avec un balai

Tallemant des Réaux rapportait que les rotondités postérieures des rois, enduraient ce type de punitions.
« Je vous commande de le fouetter toutes les fois qu’il fera l’opiniâtre, ou quelque chose de mal »

Le fouet étant salutaire, il y a une carte des parties du corps battues, ou certains l’ont nommé ainsi « une carte du corps battu », qui commence par les mains, puis les fesses, le dos et en dernier lieu la tête et les oreilles.

Au XIV et XVe siècle le corps est frappé totalement nu

XVI et XVIIe la barbarie était abolie, mais les coups de fouets pleuvaient, les parents poussant les maîtres d'écoles à en user sur les enfants.

Sous louis XIV le peuple était favorable aux corrections manuelles, le fouet était perçu comme l’auxiliaire indispensable à l’éducation
La Cravache :

La cravache est une tige flexible ayant la forme d'une badine, dont se sert le cavalier pour frapper sa monture

Le châtiment habituel pour stimuler l'attention, vingt-cinq coups d'une cravache en cuir, appliquées sur les fesses

La Badine :

Une punition qui remonte dans les siècles, bien avant celui du XVIe

La Badine était une forme de baguette, largement utilisée en dehors de l’école, elle était considérée comme le châtiment des valets.

On utilisait les verges en osier ou en coudrier

Une tige de férule était utilisée pour châtier les écoliers.

La baguette sur les doigts était d’usage, faite de deux morceaux de cuir cousus ensemble, car à l’époque c’était une baguette creuse, pour les grosses fautes
La Fessée :

Son histoire est aussi vieille que celle de l'humanité

XVIe siècle Jeanne d'Albret à l’âge de 12 ans, en 1540, son père voulait la marier, elle refusa 4 fois, son père la menaça du fouet si elle refusait, par le Bailly de Caen, sa gouvernante la menaçant de fortes fessées.
Son mariage fut annulé, elle épousa un De Bourbou en 1548

Jusqu’à la fin du XIXe siècle, on utilisait la fessée dans les écoles sur
« la chaise à fesser », visible au musée pédagogique de haute Saône
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