Anna fait rougir d’effroi les clientes de l’épicerie café du village de Maurs, offusquées par la tenue de ma partenaire qui ne porte rien sous son moulant pantalon, laissant apparaître comme saillantes toutes ses formes, plis et fentes, à faire exploser le rythme cardiaque des maris des clientes de l’épicerie, accoudés au comptoir du café, regards et cœurs affolés par l’apparition de la rousse agitée qui souhaite simplement tremper ses lèvres dans un bol de crème épicée.
La petite balade pédestre qui mène à mon antre sarthois, laisse planer un souffle de souffre. Anna veut consommer un voisin sur le chemin, soumission et fellation vont de paire en cet endroit, caché à l'orée d'un bois par une touffue végétation, qui masque l'Italienne dans sa sauvage nudité, en pleine action de succion, puis corrigée par celle d'une badine improvisée.
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Salo, les 120 jours de Sodome, un film du réalisateur italien, Pier Paolo Pasolini. Une connaissance de l'Italienne avec qui Anna découvre le plaisir érotique de la passion sous emprise et domination. Voulant reproduire ce moment, Anna convie son amant du moment à une séance cinéma, détectant rapidement le penchant de celui-ci au premier baiser, première fessée, griffes, morsures et fantasmes embrasés. Impossible de voir le film, trop interrompu par les demandes passionnées de l'Italienne, qui veut être fessée culotte baissée sur mes genoux, puis me récompense par une puissante fellation sans trop aspirer car un autre lieu attend notre venue.
A peine sortis de la salle de cinéma, Anna propose une balade derrière la place de la Bastille, un lieu qu'elle affectionne particulièrement, ayant vécue à proximité dans une petite chambre de bonne au dessous d'un toit, et travaillée plus d'une année chez un décorateur parisien, doublé d'un libertin fortement dominant. Au détour de notre chemin, une porte rouge attire les souliers de l'Italienne, au visage rouge pivoine, qui connait ceux et celles qui nous attendent à l'intérieur.
Fin de journée plaisir coquin entre deux couples libertins avec une touche sadomasochiste par l'utilisation de menottes et d'une courte badine.
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Promener toutou le soir autour du bois, celui de Vincennes proche de Fontenay sous Bois. L'Italienne me tend la laisse de son Dalmatien, pour aller se dévêtir complètement derrière un bosquet, puis revenir vers moi et accrocher le mousqueton de ma seconde laisse à l'anneau de son collier de cou en cuir. Je laisse faire l'Italienne suivant son désir, suivant sa pulsion masochiste, tout en la réprimant de temps en temps. Un lieu forestier connu des libertins, fait se rencontrer maîtres, chiens et soumises, pour discuter, pour échanger sur la beauté des pelages, l'obéissance, la discipline et le dressage de nos tendres compagnons de jeu, qui se reniflent les fesses et se lèchent les parties intimes.
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Au restaurant, sous la table est sa place, à divertir les invités par une gâterie élaborée. Laissant tomber serviettes et couverts, tout en s'excusant verbalement bruyamment, retirant sa petite culotte pour la poser autour de mon verre de vin, puis disparaissant sous la grande nappe pour déboutonner une autre braguette de pantalon.
Un jeu libertin très amusant, à reproduire aussi souvent que le désir se fait sentir.
Ballades en foret, pour sur un arbre nue l'attachée, un bandeau noir posé sur son regard, occultant sa vue de proximité. Puis m'éloigner à grands bruits, écoutant ses pleurs et suppliques, remplacés par son stress et sa peur de ne pas savoir qui s'approche d'elle à nouveau, qui se tortille sur l'arbre sans pouvoir s'en détacher. Un cri strident au premier coup de badine, un plus fort au suivant, qui enchaîne une longue série. L'Italienne devient docile, obéissante et fortement attirante par ses pommettes rougissantes et ses canines pointues blanches, réclamant sa récompense pour cette dure et passionnante séance.
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Le jeu de la Domination/Soumission excite les sens, faisant grimper le désir à son sommet, pour vivre un belle relation d'amour et de passion avec beaucoup de perversité mais sans la moindre touche d'agressivité,